Pour pouvoir enfin arriver à mon but, Je repartis m’entraîner dans la forêt. Je commença par me faire un abri. Pour ceci j’allai abattre un arbre de mes propres mains. Arrivé devant l’arbre je prépare mon coup, tape de toutes mes forces mais l’arbre de fit que tremblait. Je me suis alors dit mon entraînement sera terminée quand j’arriverai à abattre cet énorme pommier. Vu que je n’avais pas réussi à abattre ce pommier pour m’en faire un abris, je partis m’entraîner.
Je vis un loup très peu loin d’ici ; je m’approchai en courant, lui aussi m’avait vu, alors il commença à bondir vers moi. Je prépare mon coup de poing et l’attaque en plein visage. Celui-ci recula d’un bon mètre. En connaissance de ma force, il partit. Je pensais que c’était fini, mais sa n’en était rien. Il est revenu avec derrière lui une dizaine d’autre loup prêts à m’attaquer. Deux loups m’attaquèrent de face et deux autres de dos. Le premier qui arriva a moins de 50 centimètres de moi reçu de ma part un coup de coude dans la tête et ne se releva pas. Mais les trois autres loups arrivèrent vers moi sans crainte et deux des trois loups m’atteignirent et me mordirent à mes deux jambes. Le troisième m’attaqua de face pendant que les deux autres me tenaient les jambes. Ces derniers reçurent deux coups de poing fatals. Mais affaiblit je ne pus échapper l’attaque du dernier loup, celui-ci m’atteignit au milieu de mes seins en me donnant un coup de tête assez douloureux. Je pus me relever, mais ma vitesse était devenue très faible. Après m’être relevé je vis les 7 derniers loups encerclés autour de moi. Je me tenais prêt à lancer une boule de feu à quiconque s’avança vers moi. L’un deux s’avança vers moi et reçut une boule de feu qui lui a été fatale. Les 6 derniers après avoirs vus ceci foncèrent vers moi sans réfléchir. Je fis un bout pour tous les éviter et retomba vers deus loups. Je prépare deux boule de feu dans mes deux mains, les lança, mais les 2 loups les évitèrent d’un simple écart. Heureusement pour moi l’explosion des deux boules sur le sol les toucha. Et après ça ils boitaient et saignaient à flot. Je fonçai vers eux pour les achever, mais un autre loup s’interposa. Je ne pus m’arrêter et lui donna un coup de tête dans les dents. Ce dernier n’était pas mort mais assoupi. Je pus alors sauter par-dessus son corps évanoui et atteindre les deux loups blessés. Une fois arrivé entre eux je leur donna deux coup dans la nuque et tombèrent roide mort. Devant moi se tenaient encore 3 loups éveillés. Le quatrième qui était évanoui se relava mais il lui manquait quelques dents, il rejoignit ses compagnons. Cette fois ci les quatre loups restants m’attaquèrent de face, je fis un bond en arrière et sautai derrière eux. Deux d’entre eux ont été plus réactifs que prévu et me mordirent mes bras en serrant de toutes leurs forces. Un troisième loup m’attaque de plein fouet en me griffant avec ses pattes. Mes habits devinrent de plus en plus déchirés mon torse était devenu tout nu. Vu que j’étais très pudique, j’avais horreur que des personnes ; même pas des animaux voient mes seins. Dans une crise de colère j’arrivai à détacher mon bras droit. J’ai pu alors donner une rafale-crochet du droit sur celui qui m’avait déchirée tous mes vêtements et qui m’avait rendu torse nu. Celui-ci n’en a pas survit. Le dernier loup qui était la en spectateur se mit a l’attaque. Je me dégageai l’autre bras en lançant un coup de poing sur le crâne. Je sentis son crâne se brisait sous mon coup de poing. Il tomba lui aussi roide mort. Ils n’étaient plus qu’à deux contre un. L’un était à ma droite et l’autre devant moi. Je voulus vite finir le spectacle que je leur offris avec ma poitrine nue. C’est alors que je donnai un coup de coude a celui qui était a ma droite et une boule de feu a celui qui était devant moi. Ils tombèrent et ne se relevèrent pas. J’en conclus qu’ils étaient mort.
Une fois ce combat terminé, je pris un loup, pris sa fourrure, alla la nettoyer, et je la mis le plus rapidement possible pour m’en faire un petit soutien-gorge.
Une fois soigné de mes nombreuses blessures je retournais à ce fameux pommier. Je me concentra pendant une petite minute, leva mon poing et frappa l’arbre de toutes mes forces. L'arbre trembla, trembla. Mais seules des pommes tombèrent de l'arbre.